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13 mois à compter du 18 octobre 2016, voir ICI, une suspension qui ne plait pas à tout le monde

Ce matin, via un communiqué de presse* la Fédération Internationale de Ski annonce sa volonté de porter l'affaire devant le Tribunal Arbitral du Sport.

La FIS explique croire aux explications de la fondeuse mais trouve la sanction pas assez sévère au regard du règlement et des lois en vigueur. La FIS demande au TAS une suspension plus longue.

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Si le TAS suit la FIS sur ce dossier Therese Johaug pourrait bien manquer les prochains JO de PyeongChang, voire mettre un terme à sa carrière suivant l'avis donné dans quelques semaines par le TAS.

L'Agence Mondiale Antidopage, AMA, avait elle aussi la possibilité de faire appel.

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En Norvège l'avocat de Therese Johaug se montre très déçu ce matin et voit dans cette manoeuvre de la FIS une décision politique contre la Norvège.

La fondeuse ne s'est pas exprimée et espère la clémence du TAS.

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On peut tout de même s'étonner de la réaction de la FIS qui souhaite de plus large sanctions sur une affaire pas si grave concernant une crême pour les lèvres avec une quantité minime de Clostébol retrouvée.

Certains veulent sans doute faire un exemple avec Johaug au moment ou personne ne fait de cadeaux aux fondeurs Russes, suspendus provisoirement pour des suspicions de dopage.

Le cas Sundby, encore dans les mémoires, Therese Johaug ressemble de plus en plus à un bouc émissaire, c'est regrettable.

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* Le communiqué de la FIS : 

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Photo : Nordic Focus

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