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13 mois de suspension depuis le 18/10/2016
Voilà la punition infiligée par l'Agence Anti Dopage Norvégienne pour une athlète, suspendue pour prise de Clostébol, qui a toujours clamé son innoncence.
Cette sanction permet à Therese Johaug de reprendre la compétition fin novembre comme ses collègues fondeuses. Elle pourrait ainsi s'aligner sur les premières coupes du monde et bien entendu préparer sereinement les JO.
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Pourtant rien ne lui est épargné
Malgré la très faible quantité de Clostébol trouvé dans ses analyses, ce qui tendrait à valider son histoire et ses arguments, la Fédération Internationale de Ski et certaines nations, dont la Suède toujours prête à sauter sur le voisin, plaident pour plus de sévérité.
Ainsi la FIS a fait appel de la sanction infligée par les Norvégiens au Tribunal Arbitral du Sport.
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Therese Johaug est arrivée à Lausanne hier pour une audience prévue ce matin.
Accompagnée par ses avocats, elle est arrivée avec beaucoup de stress devant les trois juges du TAS avant de se libérér petit à petit.
D'après les médias Norvégiens présents toute la journée sur place, la fondeuse est ressortie rassurée avec un très léger sourire.
Ses arguments pourraient avoir convaincus les juges.
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Pour le jugement il faudra sans doute attendre la fin du mois de juillet.
Therese Johaug espère que la sanction restera à 13 mois, ou ne dépassera pas les 15 mois, limite selon elle pour se qualifier et préparer correctement les JO.
Une suspension beaucoup plus longue (la FIS aurait demandé entre 15 et 20 mois), hypothèse à ne pas écarter, pourrait signifier une possible fin de carrière.
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Photo : Nordic Focus
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